JULIEN CLERC
ASSEZ, ASSEZ


Assez de ces machins pointus,
De tout c'qui blesse, de tout c'qui tue,
Couteaux, coupe-coupes et balles perdues,
Assez de ces machins pointus...

Assez, assez, assez, assez.

Assez de ces machins qui griffent,
Crampons de foot, bijoux Van Cleef,
Tonton-macoutes, scouts à canifs,
Assez de ces machins qui griffent...

Assez, assez, assez, assez.

Faut des ronds, Faut des courbes, 
Des marchands d'marrons rue Lecourbe.
Faut des ballons, des cerceaux
Et les seins de Sophie Marceau...

Assez, assez, assez, assez.

Assez de ces machins qui piquent,
Serpents-pythons et porc-épics,
Du hérisson microscopique,
Assez de ces machins qui piquent...

Faut des ronds, Faut des courbes, 
Des marchands d'marrons rue Lecourbe.
Faut des ballons, des cerceaux
Et les seins de Sophie Marceau...
Assez, assez, assez, assez.

Bon, Cupidon est dispensé.
Les abeilles et les crustacés
OK, mais pas les chiens dressés,
Les pit-bulls et les verres cassés,
Les cutters des cours de lycée,
Les harponneurs de cétacés,
Tout ce qui blesse, ooh ! c'est assez.
Effacez tout, recommencez...

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