PREMIÈRE JOURNÉE DE TOURISME

Après un petit déjeuner rapide (j'ai hate d'aller visiter la ville), je me décide enfin à partir. J'ai prévu d'aller chercher un ticket de transports en communs pour pouvoir prendre le tramway. Pour cela, je dois trouver la station de métro qui est près du jardin botanique (en photo ci-dessus). Ce qui est amusant, c'est que toutes les rues sont marquées en francais et en flammand. Et un peu partout, on peut se rendre compte que tout est traduit en trois langues : francais, anglais et flammand.

Je m'engage donc dans la rue royale, en quête de la station de métro, je dépasse le jardin botanique et je m'en vais bien plus loin que nécéssaire, jusqu'à l'église Ste Marie, en passant devant un petite église (Gesu ?).
Je comprends alors mon erreur, mais je m'y attendais, je ne pouvais pas commencer sans me perdre !

Je rentre donc vers le jardin botanique, passant alors devant la rue Musin, dont un mur est en trompe l'oeil. Je finis par reperer la station de métro où les personnels sont absents et où les distributeurs sont par défaut en flammand. Quelques minutes plus tard, j'ai enfin un ticket en ma possession, je vais pouvoir aller prendre mon tram. (Bon, il est vrai que j'ai commencé par me tromper de côté de tram et que je suis partie dans le mauvais sens, mais je passe les détails...) Je parviens alors au palais royal (ouf ! )

Je m'en vais ensuite vers la place royale sur laquelle trône une statue de Godefroy de Bouillon et autour de laquelle on trouve entre autre le MIM. On ira demain, car aujourd'hui, il est fermé. Je pars ensuite en direction des sablons, en passant devant la cour des comptes (photo de droite).

J'arrive enfin à l'église des Sablons. Son orgue et ses vitraux sont très beaux, mais malheureusement, les vitraux ne ressortent pas du tout en photos, donc il faudra vous déplacer pour les voir. ÉGLISE NOTRE-DAME DU SABLON Joyau de l'architecture du XVe siècle, cette église batie en un peu plus d'un siècle (1400-1549) présente une remarquable unité. Elle est le plus tardif des édifices gothiques de la capitale et se distingue des exemples francais du gothique flamboyant par des proportions réduites, fidèles aux formules du XIIIe siècle et à la sensibilité locale. Outre les peintures murales (1435), de multiples oeuvres d'art, les vitraux et les orgues, l'édifice compte de nombreuses chapelles dont celles des gildes militaires, de Saint-Maclou (1690) ou de Tour et Tassis (L. Faydherbe, 1651)

		J'emprunte ensuite la rue Rollebeck et trouve la fondation Jacques Brel (place de la vieille halle aux blés). Malheureusement, elle était fermée, ce sera donc pour une prochaine fois

Je passe ensuite rue du chene où un mur est décoré, en direction de Manneken-pis. Puis je vais jusqu'au bout de la rue de l'Etuve (qui mène à la grand place)

LA GRAND PLACE : En ayant l'hotel de ville dans le dos, et en regardant tout d'abord à gauche, puis "en face à gauche" puis "en face à droite", on peut voir les batiments ci-dessus. Et juste au dessous, on peut voir tout d'abord le batiment à droite de l'hotel de ville (toujours en l'ayant dans le dos), puis la flèche de l'hotel de ville et le bas de l'hotel de ville (très décoré et sculpté). Visible de loin depuis la ville, la flèche permet de se reperer.

J'emprunte ensuite la rue des pierres et je me dirige vers la bourse. (Photo ci-contre). LA BOURSE : Erigée entre 1868 et 1873 sur les plans de l'architecte L. -P. Suys, la Bourse s'inscrit dans le programme d'assainissement et d'embellissement de la ville. Cet imposant édifice répond au besoin essentiel de creer un centre où gerer les affaires commerciales alors en pleine expension. Ce monument qui allie grandeur et fantaisie occupe l'emplacement de l'ancien marché au beurre, lui même implanté sur les restes de l'ancien couvent des Récollets. Lédifice éclectique mêle les emprunts néo-renaissance francaise et second empire dans un foisonnement d'ornements et de sculptures dues à des artistes renommés, dont A. Rodin. Puis, en repartant, je passe devant une petite église (St Gery ?) et me dirige ensuite vers le musée Bruxella, rue du midi, lui aussi fermé (ouvert seulement le mercredi ou aux groupes ayant reservé). Je ne peux que prendre une photo à travers la vitre pour qu'on y voie les fouilles archéologiques.

Je pars enfin vers la rue des Chartreux à la recherche du musée de la publicité, mais même après avoir parcourus la rue dans les deux sens, je finis par me rendre compte que ce musée est introuvable. Dommage, c'était le musée que je voulais voir ce jour-là... Il semble qu'il devait aussi y avoir un autre musée dans cette rue, le Musée Album, que je n'ai pas trouvé non plus. Je décide donc de prolonger la visite de Bruxelles, toujours à pied. Un coup d'oeil à la carte, et me voilà repartie

Voici maintenant le parvis de l'église Ste Catherine (à gauche) sur laquelle prends place le marché aux poissons. Derrière cette église, il y a une petite place avec un reste de rempart (à droite)

Je passe ensuite dans la rue de l'evèque en direction de l'opéra :

Je commence à fatiguer un peu. Je vais prendre un chemin sympa, mais je vais rentrer... Je suis la rue de l'écuyer jusqu'à la cathédrale St Michel-Ste Gudule, qui est vraiment superbe. Des vitraux majestueux, des décorations, splendides, et je ne parle même pas du grand orgue !!

Cathédrale des saints Michel et Gudule, Cathédrale catholique romaine de l'archidiocèse de Malines-Bruxelles Sur la butte du castrum avait été érigée au IXe siècle une église dédiée à St Michel. Au XIe siècle, elle fut remplacée par une église romane qui prit en 1047 le titre de collégiale. Les reliques de Ste Gudule y furent transportées. La construction de l'église actuelle de style gothique brabancon fut entreprise au début du XIIIe siècle sous l'impulsion de Henri Ier, duc de Brabant. Cette construction coïncide avec l'apparition du style gothique dans cette région. Près de 300 ans furent necessaires pour mener à son terme cette gigantesque entreprise qui fut achevée sous le reigne de l'empereur Charles-Quint. La restauration qui a duré de 1983 à 1999 ont rendu aux pierres, aux voutes et aux vitraux leur splendeur d'antan. Elle a également permis de mettre à jour des vestiges importants et remarquablement conservés de l'église romanedu XIe siècle. En février 1962, elle a pris le titre de "Cathédrale SS. Michel et Gudule" pour être promue avec la cathédrale de Maline le siège de l'archeveque de Maline-Bruxelles.

Je retourne enfin vers la rue royale, passe devant le monument aux morts de la place du congrès(ci dessous), et je rentre enfin à la maison

vers la suite de la visite : L'atomium